Blog et presse

ℹ️ Cet article propose une lecture simple pour les lecteurs non spécialistes. Une version plus théorique est disponible ici. #paracosme...

Contrairement au discours courant, la perversion n’est pas « ce que fait quelqu’un », mais « la manière dont un sujet s’inscrit dans le désir de l’Autre ».

Introduction : Le Mystère de l'Inconscient, le Défi de la Cure lacanienne La psychanalyse, et plus particulièrement l'approche...

L'insistance de l'intervenant sur la primauté absolue de son identité autodéfinie, au point de nier la pertinence de l'apparence comme point de repère initial pour l'Autre, peut effectivement être interprétée comme une forme d'imposition d'une subjectivité radicale, quand le sujet est attrapé par le miroir et qu'il fait à l'Autre ce qu'il imagine qu'on lui fait.

Pour être analyste, il faut avoir traversé sa propre analyse, un processus où la singularité du sujet est mise au premier plan. On ne "croit" pas à la psychanalyse, on en fait l'expérience et on travaille ses concepts. On ne devient pas analyste par adhésion idéologique, mais par un long et exigeant parcours personnel et théorique.

L'extrait que nous présentons met en scène une tension discursive où la tentative de catégorisation du journaliste se heurte à une subjectivité qui refuse cette assignation. Le psychanalyste (la place que nous prendrons), dans sa fonction, ne se positionne pas pour arbitrer la validité de l'identité de genre de l'intervenant ni pour juger la pertinence de ses propos

La jouissance de l'Autre est un concept fondamental et complexe de la théorie lacanienne. Pour bien la comprendre, il est essentiel de la distinguer de la jouissance du sujet et de l'inscrire dans le cadre de la structure : Réel, Symbolique, Imaginaire.

#Jouissance #Autre #Kiff #Versiongrandpublique Imaginez un enfant tout petit avec sa maman. Pour lui, au début de sa vie, sa maman est...

Le malentendu homme-femme : désir, demande et impuissance #amour #couple #disputedecouple #impuissance #différence #masculin #feminin...

Lacan a dit dans son séminaire du nom de Encore « savoir ce que le partenaire va faire, ce n’est pas une preuve de l’amour ». Il y a quelque chose d’effrayant, je trouve dans l’utilisation du « on », qui est devenu inopportune. Le pronom "on", est un pronom indéfini neutre.